Bruno, Moniteur D’Auto-École (Épisode 2).

En laissant Bruno s’occuper de ses seins, Virginie pensait que ce dernier la laisserait ensuite tranquille en ayant assouvit enfin son désir. Elle espérait pouvoir se rhabiller aussitôt, boutonner son chemisier et remettre son soutif. L’homme cependant en voulait davantage. Caresser et embrasser les seins de ma chérie l’avait excité au plus au moins. Bruno s’était mis à bander, et comptait bien découvrir tous les secrets et les mystères de ma belle.

- Voilà, c’est fini. On remballe maintenant ! s’écria Virginie.
- Attends, tu ne peux me faire ça. On ne va tout de même pas s’arrêter comme ça ! rétorqua Bruno.
- Et pourquoi pas ? on avait dit juste les seins, pas plus loin !
- Oui, mais enfin, on vient de commencer. Je reste sur ma faim, moi.

Après un court silence où Virginie ragrafa son soutien-gorge, Bruno répliqua tout en déboutonnant son jeans :
- Tu as déjà vu le sexe d’un beau mâle en érection ?
- Oh, non ! Cache-moi. Je vais être gênée ! ajouta Virginie.

Bruno venait de dévoiler à ma belle un sexe hors-norme, nue, rasé de la tête au pied.
- Ça y est, je vais rougir ! déclara Virginie.

Bruno avait fait glisser son jeans sous ses genoux. Il restait assis près de ma belle qui avait du mal à camoufler sa gêne et sa nervosité :
- Cache-moi ça, je t’en prie ! disait-elle, avec un sourire et un regard qui pourtant en disait long.

Bruno enchérissait avec douceur :
- Elle ne te plait pas ? Si tu veux, tu peux la toucher.
En disant cela, Bruno se caressait le sexe sous les yeux de Virginie qui, jetant un regard de temps à autre à ce sexe tout près d’elle, s’efforçait de regarder tout droit par la vitre comme pour ignorer le désir qu’elle avait pour ce membre en érection. Virginie était à la fois gênée et flattée par la situation. C’était la première fois, en effet, qu’elle se retrouvait ainsi à une portée de main d’u sexe d’un homme qui n’était pas celui de son compagnon :
- Et maintenant, je suis sensée faire quoi ? demanda-t-elle, tout en regardant toujours devant elle.


- Tu pourrais commencer par la prendre dans ta main, précisa Bruno.
Virginie n’osa pas faire le premier pas et Bruno le compris très vite. Il prit alors la main de ma dulcinée puis la posa sur son sexe en érection.
- Alors ? Qu’est-ce que tu en penses ? Elle est belle, non ?
Bruno entraina Virginie à caresser ce sexe qu’elle enveloppait désormais de ses doigts délicats.
- Hum, tu me fais trop du bien ! s’exclama Bruno.
- Oui, tu aimes ? ajouta Virginie d’une voie douce.
- Oui, j’adore, c’est trop bon, encore !

La belle exécuta son geste avec plus d’assurance. Elle regardait désormais Bruno prendre du plaisir, d’abord dans les yeux, puis elle jetait de nouveau un regard furtif vers le sexe qu’elle avait désormais en main. Ses mouvements allaient lentement du bas vers le haut, décalottant délicatement à chaque passage le gland de l’objet tant convoité.

Virginie ne se sentait pas experte dans l’art de la masturbation masculine, et pourtant, Bruno reconnaissait qu’il y avait là un savoir-faire évident. Le sexe de Bruno n’était pourtant que le deuxième qu’elle touchait de sa vie. Le premier ayant été celui de Bob. Dans la voiture, Bruno lui expliquait les gestes à faire et qu’il aimait lui, plus particulièrement.
- Tiens, prends-moi comme ça ! lui dit-il.
Bruno lui montrait les gestes et la belle tout attentionnée s’exerça à les appliquer.
- Humm, oui, c’est bon, comme ça, continue !
Virginie caressait Bruno délicatement en effleurant du bout des doigts la verge qu’elle tenait sur toute sa longueur. Ses doigts dessinaient des ronds en tournant autour du gland. La belle était comme obnubilée par ce sexe qui s’était dressé pour elle.
- Ok, maintenant, je veux que tu me suces.

A suivre…

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